le soleil des indépendances
Je n'ai pas réussi à lire Le soleil des indépendances. Je n'ai à aucun moment accroché au style heurté d'Ahmadou Kourouma qui m'avait pourtant énormément impressionnée dans Allah n'est pas obligé. Peut-être ai-je fait preuve de paresse ? Peut-être aurai-je dû faire preuve de davantage de perséverance ? Ou bien tout simplement n'avais-je pas la tête à lire ce genre de livre ? Toujours est-il que j'ai décroché au bout d'une vingtaine de pages.
Il y raconte le parcours de Fama, prince Malinke déchu au temps de l'indépendance d'un pays africain. On y retrouve le thème favori de Kourouma : les absurdités et les contradictions de la vie politique africaine, tout cela raconté dans son "parler africain" coloré habituel.
S'il y en a parmi vous qui ont lu ce livre, je serai curieuse d'avoir votre avis. Un jour, peut-être, dans un moment plus propice, je reprendrai la lecture de ce livre.
premières phrases : "Il y avait une semaine qu'avait fini dans la capitale Koné Ibrahima, de race malinké, ou disons-le en malinké : il n'avait pas souitenu un petit rhume...
Comme tout Malinké, quand la vie s'échappa de ses restes, son ombre se releva, graillonna, s'habilla et partit par le le long chemin pour le lointain pays malinké natal pour y faire éclater la funeste nouvelle des obsèques. "
Le soleil des indépendances, Ahmadou Kourouma, Editions du Seuil, collection Points, 196p.
Il y raconte le parcours de Fama, prince Malinke déchu au temps de l'indépendance d'un pays africain. On y retrouve le thème favori de Kourouma : les absurdités et les contradictions de la vie politique africaine, tout cela raconté dans son "parler africain" coloré habituel.
S'il y en a parmi vous qui ont lu ce livre, je serai curieuse d'avoir votre avis. Un jour, peut-être, dans un moment plus propice, je reprendrai la lecture de ce livre.
premières phrases : "Il y avait une semaine qu'avait fini dans la capitale Koné Ibrahima, de race malinké, ou disons-le en malinké : il n'avait pas souitenu un petit rhume...
Comme tout Malinké, quand la vie s'échappa de ses restes, son ombre se releva, graillonna, s'habilla et partit par le le long chemin pour le lointain pays malinké natal pour y faire éclater la funeste nouvelle des obsèques. "
Le soleil des indépendances, Ahmadou Kourouma, Editions du Seuil, collection Points, 196p.